Soutenons Messaoud Bouras dans son combat contre l'islamisme en France !
Les médias français se sont récemment fait l'écho du combat de Messaoud Bouras contre les islamistes à Lille et Roubaix, villes devenues les "capitales françaises de l'islamogauchisme". Messaoud Bouras, 42 ans, fils d'une famille ouvrière kabyle installée en France dans les années 1960, est devenu le symbole d'un combat contre l'islamisme qu'il mène depuis de nombreux mois en solitaire. Tout a commencé lorsqu'il a compris que les Verts étaient devenus le fer de lance du lobbying politique islamiste à Roubaix, et qu'il a dénoncé les alliances locales avec des associations islamistes proches de Tariq Ramadan.
Poursuivi en diffamation par l'association islamiste "Rencontre et Dialogue", défendue par Me Jean-Louis Brochen (le mari de Martine Aubry), Messaoud Bouras est devenu l'homme à abattre pour les islamistes locaux. Ayant gagné son procès en première instance, il a dû se pourvoir en cassation après que l'association islamiste ait eu gain de cause en appel. Ces procédures coûteuses nécessitent beaucoup de temps et d'argent, et Messaoud Bouras est seul. Aussi a-t-il lancé un appel à l'aide, dont je me fais ici le relais.
Pour comprendre l'importance de soutenir Messaoud Bouras dans son combat, je voudrais relater ici les circonstances dans lesquelles j'ai fait sa connaissance. Chercheur indépendant installé à Jérusalem depuis de nombreuses années, j'ai commencé à m'intéresser en 2004 au financement du Hamas en Europe, et en France notamment, par le biais d'associations "caritatives" menant des collectes au sein des populations musulmanes. Lorsque j'ai découvert qu'une association, le CBSP (Comité de Bienfaisance et de Secours aux Palestiniens) menait ouvertement une collecte au bénéfice des orphelins du Hamas, sur le sol français, j'ai voulu attirer l'attention d'organisations de lutte contre l'antisémitisme, pour tenter de mettre fin à ce scandale.
Après avoir vainement alerté le CRIF, ainsi que d'autres associations juives, j'ai finalement décidé de publier sur Internet un article contre la collecte du CBSP. Cet article a été publié sur le site Aroutz 7 en mars 2005 et repris depuis par d'autres sites Web. Mais cet appel n'a pas donné de résultat concret immédiat, puisque le CBSP a poursuivi ses activités en toute impunité. La découverte, en février 2006, de documents du CBSP au domicile de l'assassin d'Ilan Halimi, n'a pas suffi à modifier cette situation, et le CBSP a toujours pignon sur rue en France.
Toutefois, j'ai appris récemment de la bouche de Messaoud Bouras que celui-ci avait, de son côté, réussi à obtenir une victoire concrète, sur le fondement des documents et des articles que j'avais publiés concernant la collecte du CBSP. En janvier 2006, Messaoud a adressé une lettre ouverte à Mme Cécile Scavennec, conseillère municipale de la ville de Roubaix. Dans cette lettre, il attirait l'attention de la destinataire sur une brochure publiée par l'association Rencontre et Dialogue, qui faisait état d'une "opération de solidarité avec les orphelins palestiniens" menée en collaboration avec la ville de Roubaix et le CBSP...
Messaoud Bouras citait ensuite des extraits de mon article, dans lequel j'expliquais comment la collecte menée dans l'Hexagone par le CBSP s'inscrivait en réalité dans le cadre de la "campagne des 101 jours" organisée par le sheikh Qaradawi, idéologue islamiste basé au Qatar, qui est devenu célèbre par ses fatwas autorisant les attentats-suicides, y compris ceux commis par des femmes, contre les civils israéliens. Je concluais cet article en expliquant que chaque euro collecté en France par le CBSP pouvait ainsi se transformer en "bombes meurtrières et en boulons d'acier, destinés à transpercer la chair des femmes, hommes et enfants assassinés dans les cafés et les restaurants de Jérusalem, de Tel Aviv ou de Haifa..."
A la suite de cette lettre ouverte, le maire de Roubaix a pris la décision, lors du conseil municipal du 30 mars 2006, de ne pas accorder de subvention à l'association Rencontre et Dialogue, co-organisatrice de la collecte avec le CBSP. Cela signifie donc que Messaoud Bouras a réussi à obtenir sur le plan local, ce que j'ai vainement tenté de faire au plan national (en alertant les dirigeants de grandes associations juives) : entraver la collecte du CBSP au profit du Hamas.
Cette victoire, certes modeste, est cependant significative et riche d'enseignements. J'en tire pour ma part deux. Le premier, c'est qu'un homme seul peut combattre et vaincre les islamistes. Car ceux-ci se nourrissent des faiblesses de nos démocraties, et de l'inertie des pouvoirs publics. Le second, c'est que les adversaires les plus acharnés de l'islamisme en France, et ailleurs, sont souvent des hommes et des femmes d'origine musulmane, combattants anonymes qui risquent leur confort, leur santé et parfois leur vie pour lutter contre les islamistes. Messaoud Bouras est de ceux-là.
Si je revendique aujourd'hui le modeste privilège d'avoir contribué à cette victoire contre les islamistes de Roubaix, c'est uniquement pour que le mérite en revienne à celui qui est le véritable artisan de ce combat, qu'il mène courageusement et solitairement. C'est pourquoi j'invite tous ceux qui sont conscients de l'importance de ce combat contre l'islamisme en France à contribuer à la défense de Messaoud Bouras, en l'aidant à supporter les frais de sa procédure. (On peut contribuer en ligne sur son blog en cliquant sur le lien suivant http://www.messaoud-bouras.com/index.php/comment-faire-un-don). Notre liberté est à ce prix !
Notes
1. Judith Perrignon, "Les barbus le rasent", Libération, 1er mars 2006.
2. Paul Landau, "Arrêtons la collecte menée par le CBSP au profit du Hamas en France !", Aroutz 7, 25 mars 2005.
1 Comments:
Bonjour,
nous nous permettons de réagir à l'article et à certains commentaires postés qui frise la paranoïa.
Cette paranoïa qui consiste à croire et à faire croire à chaque fois que des français qui portent un triple tort:
- ils ne sont tout d'abord pas très "souchiens"
- ils sont de confession musulmane
- ils s'engagent dans la société dans laquelle ils sont nés et ont grandi par le biais d'un groupe politique;
et bien cette catégorie de français porte en elle le funeste projet d'islamiser la société française.
C'est vraiment pathétique comme posture. Nous vous invitons à changer de disque parce que les poissons qui mordent à l'hameçon à chaque fois qu'un "scoop" sur cette thématique est publiée...risqueraient pour le coup d'en mourir d'indigestion.
De grâce, épargnez-nous vos réflexions, dignes d'un grand film hollywoodien avec des méchants infiltrés d'un coté qui essaient d'imposer leur dictature sur de petites victimes apeurées de l'autre côté.
Pour information, la cour de cassation de Douai a condamné un journal régional pour des propos diffamatoires qu'il a tenu à notre encontre.Je vous invite donc à plus de respect, et à plus de maturité dans votre analyse. Merci.
Pour info, voici le verdict du jugement:
Publication judiciaire
Par arrêt définitif du 13 avril 2006, la 6ème Chambre des Appels Correctionnels de la Cour d'Appel de DOUAI a déclaré « Jacques HARDOUIN, » coupable d'avoir à ROUBAIX, en publiant un article sous le titre « L'obscurantisme ne passera pas » dans le journal Nord Eclair dans l'édition du 11 février 2005, porté atteinte à l'honneur ou à la considération de l'ASSOCIATION RENCONTRE ET DIALOGUE, et Messaoud BOURRAS complice de cette infraction.
En répression la Cour les a condamnés à 10 000,00 Euros d'amende pour diffamation publique envers un particulier et complicité et à payer à l'ASSOCIATION RENCONTRE ET DIALOGUE, dont le siège est à ROUBAIX 24 place de la Liberté 3 000,00 euros à titre de dommages et intérêts.
La Cour a ordonné à titre de réparation complémentaire du préjudice la publication de l'Arrêt dans les journaux La Voix du Nord et Nord Eclair par extraits aux frais des condamnés.
Une somme complémentaire de 500 euros a été accordée à l'association par l'arrêt du 20 novembre 2007 de la Cour de Cassation ».
Il échet en outre de condamner la SAS NORD ECLAIR à payer à l'Association Rencontre et Dialogue une somme de 1 000,00 euros HT sur le fondement de l'article 700 du NCPC.
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